Nouvelles récentes

Ce n’est pas tous les jours que naît un nouvel acteur dans le paysage médiatique. Avec les fusions des journaux et magazines dans des groupes médias de plus en plus grands, la parution d’un nouveau titre de gauche est en soi un événement rafraîchissant. 

Cette année, ManiFiesta propose pour la première fois à ses visiteurs un ticket de soutien. Mario Franssen, tout nouveau directeur du festival, nous en dit plus.

Make Music Not War (« Faites de la musique, pas la guerre ») est un concours de jeunes talents lancé par Comac, le mouvement étudiant du PTB, dans six villes étudiantes. L’occasion de promouvoir une société où l’on investit dans les besoins écologiques, sociaux et démocratiques et non dans la guerre. 

Le vice-président des Jeunes N-VA a dû démissionner après avoir posté un répugnant cartoon d’intimidation sur le profil Facebook d’une étudiante de gauche. Ce genre de choses se produit de plus en plus souvent. Cela cadre dans la stratégie pratiquée par la N-VA et le secrétaire d’État Theo Francken pour faire taire les voix critiques à leur encontre. 

C’est passé plutôt inaperçu ici mais, voici quelques mois, l’Inde a été confrontée à une thérapie de choc qui a provoqué bien des souffrances parmi la population indienne.  

Un plan d’exigences patronales de 187 pages menaçait la paix sociale dans le secteur chimique et pharmaceutique.

Mais qu’est-ce que le géant de la bière a à voir avec le personnel soignant ? La réponse se trouve dans la fiscalité. Explications de Guido Deckers, un des organisateurs de la « Tax Justice Day » (Journée pour la justice fiscale), qui aura lieu le 8 juin.

Yassin*, un jeune Bruxellois de 17 ans,  venait de sortir de l’école lorsqu’il a été violemment arrêté par la police. Qu’avait-il fait ? Rien. Ce genre de faits se produit bien trop souvent. Chaque semaine, des jeunes sont sans raison brutalement interpellés par des policiers. Yassin raconte ce qu’il a vécu.

Avec les gouvernements actuels, le secteur du non-marchand est particulièrement mis à mal. L’austérité et la poussée vers les privatisations mettent la santé publique en danger. Des soins de qualité, durables et financièrement accessibles sont pourtant trop précieux que pour les laisser au privé. 

« Ce samedi 20 mai est un jour inoubliable, nous étions des dizaines de milliers à la Pride à Bruxelles. Nous avons eu la chair de poule quand, à plusieurs reprises, le public a applaudi notre banderole “Refugees Welcome. We take pride in solidarity” », a écrit un activiste du mouvement Mix sur sa page Facebook juste après la Pride.

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