Deuxième contribution de la médecin urgentiste Nathalie Eggermont. Un service de nuit aux urgences. On n’a aucune certitude, sur la façon dont la crise va évoluer. On continue à se battre. Et on relâche un peu la pression, avec les collègues. On râle ensemble sur la pénurie de matériel, et les choix politiques consternants.