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Les gens en ont marre. Marre des politiciens corrompus. Marre de leurs combines. Marre de l’austérité. En France, le Front national (FN) prétend offrir une alternative. Mais les entrailles du FN montrent non seulement un parti très antisocial, mais, de scandale en scandale, les responsables du parti sont eux aussi pris la main dans le sac.

La semaine dernière, la Cour européenne de justice a rendu un arrêt stipulant que les entreprises peuvent interdire le port du foulard (parfois appelé à tort « voile ») sur la tête dans des fonctions où l’on est visible par le public. Dans une carte blanche publiée dans le magazine Knack, un nombre important d’organisations de femmes et d’associations se sont indignées de cet arrêt. L’avis de Maartje De Vries, présidente de Marianne, le mouvement de femmes du PTB.

« Vous ne pouvez pas dépenser tout l'argent dans l'alcool et les femmes et ensuite demander de l'aide » Ces mots du social-démocrate néerlandais Jeroen Dijsselbloem visent la Grèce ou de l'Espagne. Avec ces propos sexistes, xénophobes et qui diffusent une vision fausse sur la dette des pays du Sud de l’Europe, Dijsselbloem, président de l’Eurogroupe, veut surtout assurer sa place, après sa déroute électorale aux Pays-Bas.

C’était une réussite. Samedi 18 mars dernier, pas moins de 130 000 personnes avaient répondu à l’appel de la gauche française à prendre part à la Marche pour la 6e République et la justice sociale. Des membres du PTB et de son mouvement d’étudiants, Comac, y étaient. Voici quelques photos.

Dans un athénée de Flémalle, près de Liège, cela fait plusieurs années que les pannes de chauffage sont récurrentes. Pour enfin faire bouger les choses, les élèves ont décidé de se mettre en grève. Et ils ont obtenu une première victoire. 

La stratégie des politiciens comme Trump, Wilders, Le Pen, Francken ou Dewinter est de monter les gens les uns contre les autres. À Anvers, l’association Samenlevingsopbouw travaille dans la direction opposée en créant chaque jour du lien social au cœur de la diversité.

Les agriculteurs travaillent dur, et tous les jours de l’année. Ils sont pourtant étranglés financièrement depuis des décennies et ne bénéficient que de peu de reconnaissance. Il faut qu’ils soient vraiment poussés à bout pour qu’ils descendent dans la rue afin d’exiger une politique équitable. C’est le 23 mars 1971, à Bruxelles, qu’a eu lieu la plus mémorable de leurs actions : une gigantesque manifestation contre la Politique agricole commune appliquée à partir de 1968. 

Le choc. Jeudi 2 février, Théo, 22 ans, était interpellé, agressé et violé avec une matraque par quatre policiers dans la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis, banlieue de Paris). Dans la commune de Théo, le racisme routinier de la police n’étonne plus. Mais cette fois, la violence, l’humiliation et la barbarie ont passé les bornes. Reportage.

Le 27 janvier dernier, dans un communiqué de presse commun, l’Université libre de Bruxelles (ULB) et McKinsey annonçaient la fin de leurs négociations. Les étudiants, les professeurs et les syndicats se sont unis pour refuser la venue de la multinationale de la consultance sur le campus. 

Trente-deux personnes ont perdu la vie lors des attentats du 22 mars à Bruxelles. 340 personnes ont été blessées. Presque un an après, les victimes et leur famille arrivent à peine à se faire entendre par le gouvernement. Et le nouveau statut des victimes exclut celles qui ne sont pas belges… 

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