Le 29 août 2005, les 450 000 habitants de la Nouvelle-Orléans se retrouvent sous eau. Enfin, une partie d’entre eux. Car, si 80 % de la ville ont été inondés suite à la destruction des digues du lac Pontchartrain par Katrina, l’ouragan a surtout montré la fracture entre pauvres et riches, Noirs et Blancs. Et s’est transformé en une opportunité pour les faucons néolibéraux.