En pleine crise, l'Europe refuse la solidarité structurelle. L'Italie et l'Espagne sont autorisés à faire des emprunts supplémentaires pour les soins de santé, mais pas pour des mesures sociales ou économiques, et restent soumis aux mesures d’austérité européennes. Pourtant, une autre approche est possible. Une approche qui donne la priorité au social, mais nécessite de rompre avec les dogmes de l’austérité.