Nouvelles récentes

On finit par en perdre le compte. Les scandales d’évasion fiscale à grande échelle dans des paradis fiscaux plus ou moins lointains s’accumulent. La tempête provoquée par les Panama Papers s’est à peine calmée que de nouvelles révélations surgissent : les Bahamas Leaks.

Nous étions partout : sur des affiches, avec notre casquette rouge et blanche frappée du logo au renard que tout le monde s’arrachait, ou encore lors du Moment central, où nous avons fait danser tout le monde. 

Personne n’a oublié la photo choc de ce jeune garçon syrien de 5 ans, hébété, seul, couvert de poussière, dans une ambulance. Le petit Omran est devenu un symbole de la guerre en Syrie. Depuis, les images terribles se succèdent. Des images d’enfants ou d’hôpitaux frappés, notamment à Alep maintenant que l’armée syrienne a lancé l’assaut, avec l’aide de la Russie, à l’est de la ville. Les appels humanitaires et de solidarité se multiplient. Que pouvons-nous faire dans ce conflit complexe ?

« Nous avons du respect pour les droits acquis », à déclaré le président de la Chambre, Siegfried Bracke, lors de la discussion sur la réforme de la pension des parlementaires, qui ne s’appliquera qu’aux élus qui feront leur entrée au Parlement en 2019 et plus tard. Les droits acquis des simples travailleurs, indépendants ou agents de l’État, eux, ne semblent pas mériter le même respect.  

Ce lundi 5 septembre, à l’appel du PTB de Seraing, quelque 350 habitants de la ville ont manifesté pour protester contre l’augmentation astronomique de la taxe sur les déchets décidée par la majorité communale. Depuis, la majorité commence à reculer…

Juste avant de participer au meeting de solidarité avec les travailleurs de Caterpillar Gosselies à ManiFiesta, le syndicaliste français Mickaël Wamen est passé au stand de Solidaire. L’occasion de revenir avec lui sur la criminalisation des mouvements sociaux. Un sujet qu’il connait (trop) bien.

C’était une lutte pour éviter de se faire empoisonner, c’est devenu un combat qui attire et rassemble ceux qui refusent de voir leurs terres, leur vie, la nature et notre futur pillés pour le profit des multinationales.

Ces dernières semaines, des troubles ont éclaté à Kinshasa. Soutenue par l’Occident, une partie de l’opposition appelait la population à manifester. Ces troubles constituent un prétexte pour que Bruxelles, Paris et Washington s’immiscent plus encore dans les affaires du Congo. Pour l’Occident, Kabila doit partir le plus vite possible. Mais est-ce vraiment ce que la population congolaise désire ?
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70 000 représentants des ouvriers, employés, fonctionnaires, enseignants, travailleurs du secteur socioculturel… ainsi que les organisations du monde associatif ont manifesté contre la politique du gouvernement. Cette manifestation montre que le gouvernement n’arrive pas à faire taire la contestation. Après deux années de cette politique gouvernementale, le mécontentement est toujours très fort dans la population.

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