Nouvelles récentes

A côté des grands groupes comme Kinépolis, il existe aussi, en cité ardente, des cinémas différents, qui travaillent avec les associations et les écoles, proposent des films à prix démocratiques et « qu'on ne verra jamais nulle part ailleurs », des cinémas dans lesquels le passage obligé par le supermarché de pop-corn et de bonbons n'existe pas... Le Parc, le Churchill et le Sauvenière, ce sont 8 salles de cinéma gérées par l'asbl « Les Grignoux » qui fête cette année ses 40 ans. Rencontre avec Pierre Heldenbergh, administrateur.

Le peuple grec a parlé. Et il a dit « non ». Le jour du référendum, ce dimanche 5 juillet, les membres de la délégation de solidarité envoyée par le PTB ont couru dans tous les sens. Ils nous racontent cette journée historique pour le peuple grec. Et pour le peuple européen en général.
Jour-J. Premières impressions du référendum : tout se passe dans le calme, le « οχι » (non) suscite de l’espoir et les électeurs du « ναι » (oui) ressemblent à des caricatures. L’impact des pressions des élites économiques grecques seront sans doute déterminantes. La journée s’annonce encore longue.
Giorgios a voté… ND (droite). « Mais qu’est-ce que je regrette ! Là je vais voter pour le non. Ca ne peut plus continuer. 5 ans d’austérité, c’est assez ! On ne doit pas voir peur. » Carnet de bord, deuxième partie, sur la manifestation massive pour le « non », du climat de peur entretenu par les partisans du « oui » et d'une fille de 16 ans qui porte l’avenir en elle.
Alors que la campagne pour le référendum bat son plein, le PTB a envoyé une délégation en solidarité avec le peuple grec. Parmi cette délégation, Michaël Verbauwhede, député bruxellois, et Steff Coppieters nous font vivre les événements sur place avec ce journal de bord.
« Votre prénom est Wallon ou Flamand. Votre nom de famille est travailleur. » Il y a 79 ans, après l’assassinat de deux socialistes anversois, une grève d’une incroyable ampleur éclatait dans tout le pays.
Le 5 juillet, les Grecs iront voter pour un référendum sur la politique austéritaire européenne. Le Premier ministre Alexis Tsipras a été clair : « Avec un non clair et massif, nous enverrons le message que la Grèce ne capitulera pas ». Mais la démocratie, cela ne plaît pas à la nouvelle aristocratie européenne.

Le 18 juin, lors des élections législatives, les Danois ont sanctionné les partis du gouvernement. Si les électeurs ont cherché dans des partis non traditionnels une alternative à l’austérité, la surenchère xénophobe qui a animé le débat public a permis une victoire du Parti populaire danois d’extrême droite.

En vous abonnant à Solidaire, vous recevrez gratuitement le livre La taxe des millionnaires et sept autres idées brillantes pour changer la société ou un ticket week-end pour la fête de la solidarité ManiFiesta 2015.

« Les Grecs veulent faire payer leur dette aux Belges», « à Athènes, ils profitent tous d’une belle retraite anticipée», ou encore « Une dette est une dette, il faut la rembourser »… : des refrains ressassés sans relâche, destinés à décourager toute solidarité avec le peuple grec. Mais qu’en est-il réellement ? 

Pages